Injustement sacrifié sur l’autel du féminisme fou, le Nelson Mandela de la drague lourde pourrait être libéré rapidement.
Seul risque qu’on apprenne que l’organisation louche de blanchiment d’argent avec laquelle la femme de chambre du Sofitel était en lien s’appelle, en fait, le Fonds monétaire international.